L’usurpation d’identité – Arnaque
Le Président de la Collectivité Territoriale de Guyane, Rodolphe Alexandre, signale par le présent communiqué l’usurpation d’identité dont il est actuellement victime, et qui tente d’escroquer la population sur le réseau social en ligne Facebook.
Un ou des individus mal intentionnés contactent des utilisateurs en message privé et directement sur le mur de ce compte hors la loi, pour tenter de leur soutirer des fonds sous des prétextes fallacieux.
Le Président de la Collectivité rappelle que ni lui, ni la Collectivité Territoriale ne traitent de dossier d’aide ou d’accompagnement par message privé, sur quelconque réseau social que ce soit, et ne réclament aucun fond.
Rodolphe Alexandre tient à dénoncer avec la plus grande fermeté cette usurpation de son identité et l’utilisation frauduleuse de celle-ci, ainsi que la violation de son droit à l’image. Il appelle les utilisateurs de Facebook et autres réseaux sociaux en ligne à la plus extrême vigilance quant à la défense de leurs propres droits face aux malfrats.
Le compte frauduleux à dores et déjà été signalé aux services de Facebook mais, dans le cas ou vous seriez contactés, le Président invite les utilisateurs à ne pas répondre aux sollicitations et à signaler cette page au réseau social. Il souligne qu’il ne dispose que d’une page Facebook publique là ou le compte frauduleux présente un profil privé avec une apparence et un volume d’actualités qui diffèrent largement du compte officiel.
Comme en septembre de l’année dernière, des poursuites vont être engagées et une plainte va être déposée. L’article 226-4-1 du code pénal, créé par la loi dite « Loppsi 2 » entrée en vigueur le 16 mars 2011, a introduit l’infraction d’usurpation d’identité numérique.
Cet article réprime « le fait d’usurper l’identité d’un tiers ou de faire usage d’une ou plusieurs données de toute nature permettant de l’identifier en vue de troubler sa tranquillité ou celle d’autrui, ou de porter atteinte à son honneur ou à sa considération ». La sanction prévue est d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende.
Pour rappel et pour éviter toute confusion,
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