[Handicap] La CTG participe à la journée internationale du handicap, organisée par le lycée Max Joséphine
Samantha Cyriaque, 8ème vice-présidente de la CTG, déléguée à l’autonomie et au handicap participait en effet à cet évènement éducatif mis en place par l’établissement avec la collaboration des Accompagnateurs des Elèves en Situation de Handicap (AESH) et des équipes encadrantes et pédagogiques. Un évènement qui réunissait des représentants d’organismes œuvrant pour l’inclusion dans la société de personnes en situation de handicap notamment :
- L’Association pour le Développement de l’Education Permanente (ADEP)
- La Maison Départementale pour les Personnes Handicapées (MDPH)
- l’Equipe Mobile de Sécurité (EMS) du rectorat
Plusieurs interventions visant à informer et à sensibiliser sur les différents types de handicap et les missions des différents organismes, ainsi que différents ateliers autour d’activités animées sur les difficultés rencontrées quotidiennement chez l’adolescent étaient proposés dans le cadre de cette journée autour des thématiques suivantes :
- Quiz sur le handicap en milieu scolaire
- Communiquer avec une personne ayant un handicap auditif
- Utiliser les membres de son corps différemment
- Échanges avec les éducateurs spécialisés et les professionnels de santé
- La mémorisation
« Il est nécessaire de porter une attention particulière à toutes les personnes porteuses de handicap. Un jeune en situation de handicap est un jeune qui doit pouvoir prétendre aux mêmes chances de réussite scolaire et professionnelle que les autres, » a expliqué Samantha Cyriaque avant de rappeler les dispositifs portés par la CTG, auxquels ces jeunes peuvent prétendre.
Pour aller plus loin
Cette journée était pilotée par Emrick Lalsie, chargé de prévention et de sécurité au sein de l’établissement.
“Cette année, nous avons convié une classe de 1ère et plusieurs élèves non-porteurs de handicap, puisque ce projet vise avant tout à renseigner sur le sujet, mais aussi à favoriser l’écoute, les échanges et faire partager le quotidien que vivent les élèves de la classe ULIS ainsi que ceux notifiés par la MDPH, et plus généralement, toutes les personnes porteuses de handicap”, explique Emrick Lalsie.